Les enseignes de Djougou
Je note les enseignes des boutiques :
- sur un café « La Joie du Magnificat »,
- pour une cabine en tôle : « Au Palais des communications »
- et une autre : « Rosaire Mystica » plus énigmatique.
- A la station-service : « Bougie à éteindre » ou encore « Délices du carrefour »,
- chez la couturière :« Eh vas y voir ! ».
Je note toutes les petites scènes pittoresques observées à la fenêtre du car :
Dans une école le cours de Gymnastique se déroule en rang trois par trois.
Arrêt dans la campagne : une petite fille regarde la car, elle porte de la braise sur un couvercle métallique formant un petit plateau. Comme c’est chaud, elle le pose par terre.
A Savalou, retour du réseau du téléphone portable. J’envoie un SMS à l’hôtel Helvetia.
Sur le bord de la route, des cafétérias « luxueuses » presque comme en Europe. Nous traversons ensuite des collines verdoyantes, des forêts de tecks, arbres petits plantés serrés, au sol de l’herbe verte. La végétation est maintenant complètement différente de celle du nord du pays.
Arrêt déjeuner à Dassa dans une sorte de gargote, je mange des bananes. Que faire des épluchures ? Une femme propose de m’en débarrasser, elle les jette de côté. A la sortie de Dassa, sur de hauts comptoirs, des cylindres de gari ressemblent à de gros cierges très blancs, au sol, des sacs de charbon. Chaque étal porte un écriteau au nom du producteur
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