dimanche 16 avril 2017

je danserai si je veux film de Maysaloun Hamoud Israël/Palestine


Laila et Salma partagent un appartement à Tel Aviv. Laila est avocate, belle, indépendante. Salma est DJ et barmaid dans un bar branché. Elles sont joyeuses et libres, boivent des bières, fument des joints et profitent de la vie trépidante de Tel Aviv. Quand Nour débarque dans la colocation avec sa grosse valise et son voile, elle détonne un peu.
Trois filles palestiniennes qui essaient de gagner la liberté et le bonheur, chacune à sa façon.
Laila, courtisée par un collègue juif ,  ne cède pas à ses avances, elle tombe amoureuse de Ziad, le beau garçon qui revient de New York ils forment un très  beau couple mais rapidement Ziad lui demande des compromis inacceptables pour elle.
Nour est fiancée à Wissam, un homme pieux qui ne songe qu'à avancer la date du mariage alors que Nour tient à terminer ses études d'informatique et à obtenir un emploi.
Salma est lesbienne. Sa famille chrétienne de Nazareth, qui paraît tolérante lui présente des prétendants qu'elle refuse.
A chacune, son degré de révolte, sa résistance,  ses limites.
Ce n'est pas facile d'être une femme - palestinienne - libre et heureuse même dans la grande ville.
Un film féministe réalisé par Maysaloun Hamoud qui a cherché à faire entendre une nouvelle voix dans l'ambiance des changements annoncés par les Printemps arabes.
Un film produit par Shlomi Elkabetz dédié à Ronit Elkabetz, sa sœur décédée il y a tout juste un an, bouleversante dans le Procès de Viviane Amsallem qu'ils ont réalisé ensemble.







1 commentaire: